La carte de l’intercoopération

Les entreprises du secteur forestier, peu importe leur mode de constitution, font tout en leur pouvoir pour développer leurs affaires malgré le contexte d’incertitude. Les coopératives n’y font pas exception. Toutefois, elles détiennent une carte dans leur manche par rapport aux autres types d’entreprises : la carte de l’intercoopération.
Les coopératives forestières ne se limitent pas à coopérer entre elles. Au Québec, elles font partie d’un plus grand réseau de coopératives, celui qui est chapeauté par le Conseil québécois de la coopération et de la mutualité (CQCM). Il s’agit d’un réseau de près de 3 000 coopératives qui compte 10 millions de membres et qui génère un chiffre d’affaires annuel de 43 G$.
Le réseau des coopératives est constitué de plusieurs niveaux interreliés qui permettent une résilience incomparable. Bien que toutes les coopératives soient des entreprises autonomes, elles ont choisi de s’organiser de cette manière pour bénéficier des avantages de l’intercoopération. Vous ne le savez peut-être pas, mais le réseau des coopératives d’ici se veut un modèle pour le reste de la planète, par la manière dont nos coopératives sont interreliées. Une coopérative québécoise n’est jamais seule pour développer ses affaires ou pour affronter les problèmes qui surviennent au quotidien. Elle a accès à une foule de ressources pour l’aider au niveau de la représentation, de la concertation ou du service-conseil, que ce soit en utilisant les services de la fédération de son secteur d’activité ou les services de la Coopérative de développement régional du Québec, s’il n’y a pas de fédération dans son secteur d’activité.
Les coopératives forestières ont une fédération sectorielle et elles ont également créé des associations dans certaines régions pour améliorer la concertation et réaliser des projets de développement commun. La FQCF s’occupe de représenter l’ensemble de ses membres dans différents dossiers, entre autres, auprès des instances gouvernementales. Elle s’occupe également d’organiser des événements et des activités de concertation où les représentants des coopératives peuvent échanger entre eux, suivre des formations, assister à des conférences et tisser des liens. Finalement, la Fédération offre des services-conseils spécialisés avec une équipe de conseillers dédiée exclusivement à ses membres.
Il existe des fédérations de coopératives dans plusieurs secteurs d’activités. Par exemple, les coopératives alimentaires, les coopératives scolaires, les coopératives agricoles, les coopératives funéraires et les coopératives d’habitation ont chacune leur fédération. Certaines coopératives sont regroupées en fonction de leur territoire, comme les coopératives du Nouveau-Québec, ou du type de coopératives, comme Réseau COOP qui représente les coopératives de travail. Les coopératives qui n’ont pas de fédération peuvent obtenir de l’accompagnement auprès de la Coopérative de développement régional du Québec (CDRQ). Les représentants des différentes fédérations et de la CDRQ se rencontrent régulièrement pour échanger sur différents sujets et s’entraider.
En complément des fédérations et de la CDRQ, les coopératives ont accès aux services-conseils du Consortium de coopération des entreprises collectives. Cette organisation est une coopérative de solidarité qui a pour mission d’offrir à ses membres des services professionnels de haut niveau à un coût juste et abordable. Donc, lorsque la fédération ou la CDRQ ne dispose pas de l’expertise nécessaire pour venir en aide à une coopérative membre, elle peut avoir recours aux services du Consortium. Les fédérations peuvent aussi avoir recours aux services du Consortium pour leurs propres besoins.
Les coopératives peuvent participer aux activités de concertation du Conseil québécois de la coopération et de la mutualité (CQCM) et ce dernier effectue aussi de la représentation pour défendre les intérêts des coopératives, entre autres au niveau politique et pour promouvoir le modèle coopératif.
Au niveau national, on peut compter sur Coopératives et Mutuelles Canada (CMC), qui regroupe les coopératives du pays et qui effectue de la représentation. Il y a également des fédérations nationales, comme la Fédération canadienne des coopératives de travail (FCCT), qui effectue de la représentation et des activités de concertation. La FQCF est membre de CMC et de la FCCT. Enfin, il y a l’Alliance Coopérative Internationale (ACI), qui regroupe les coopératives du monde entier.
Cette configuration en toile d’araignée fait en sorte que le niveau de résilience du réseau des coopératives au Québec est incomparable. Elle permet aussi le développement d’une expertise enviable pour soutenir les coopératives dans leur développement, peu importe le contexte d’affaires. Qu’elle évolue dans un environnement favorable, incertain ou difficile, il faut garder en tête qu’une coopérative n’est jamais seule et qu’elle a accès à une foule de ressources professionnelles qui ont à cœur son succès!
Les coopératives forestières ne se limitent pas à coopérer entre elles. Au Québec, elles font partie d’un plus grand réseau de coopératives, celui qui est chapeauté par le Conseil québécois de la coopération et de la mutualité (CQCM). Il s’agit d’un réseau de près de 3 000 coopératives qui compte 10 millions de membres et qui génère un chiffre d’affaires annuel de 43 G$.
Le réseau des coopératives est constitué de plusieurs niveaux interreliés qui permettent une résilience incomparable. Bien que toutes les coopératives soient des entreprises autonomes, elles ont choisi de s’organiser de cette manière pour bénéficier des avantages de l’intercoopération. Vous ne le savez peut-être pas, mais le réseau des coopératives d’ici se veut un modèle pour le reste de la planète, par la manière dont nos coopératives sont interreliées. Une coopérative québécoise n’est jamais seule pour développer ses affaires ou pour affronter les problèmes qui surviennent au quotidien. Elle a accès à une foule de ressources pour l’aider au niveau de la représentation, de la concertation ou du service-conseil, que ce soit en utilisant les services de la fédération de son secteur d’activité ou les services de la Coopérative de développement régional du Québec, s’il n’y a pas de fédération dans son secteur d’activité.
Les coopératives forestières ont une fédération sectorielle et elles ont également créé des associations dans certaines régions pour améliorer la concertation et réaliser des projets de développement commun. La FQCF s’occupe de représenter l’ensemble de ses membres dans différents dossiers, entre autres, auprès des instances gouvernementales. Elle s’occupe également d’organiser des événements et des activités de concertation où les représentants des coopératives peuvent échanger entre eux, suivre des formations, assister à des conférences et tisser des liens. Finalement, la Fédération offre des services-conseils spécialisés avec une équipe de conseillers dédiée exclusivement à ses membres.
Il existe des fédérations de coopératives dans plusieurs secteurs d’activités. Par exemple, les coopératives alimentaires, les coopératives scolaires, les coopératives agricoles, les coopératives funéraires et les coopératives d’habitation ont chacune leur fédération. Certaines coopératives sont regroupées en fonction de leur territoire, comme les coopératives du Nouveau-Québec, ou du type de coopératives, comme Réseau COOP qui représente les coopératives de travail. Les coopératives qui n’ont pas de fédération peuvent obtenir de l’accompagnement auprès de la Coopérative de développement régional du Québec (CDRQ). Les représentants des différentes fédérations et de la CDRQ se rencontrent régulièrement pour échanger sur différents sujets et s’entraider.
En complément des fédérations et de la CDRQ, les coopératives ont accès aux services-conseils du Consortium de coopération des entreprises collectives. Cette organisation est une coopérative de solidarité qui a pour mission d’offrir à ses membres des services professionnels de haut niveau à un coût juste et abordable. Donc, lorsque la fédération ou la CDRQ ne dispose pas de l’expertise nécessaire pour venir en aide à une coopérative membre, elle peut avoir recours aux services du Consortium. Les fédérations peuvent aussi avoir recours aux services du Consortium pour leurs propres besoins.
Les coopératives peuvent participer aux activités de concertation du Conseil québécois de la coopération et de la mutualité (CQCM) et ce dernier effectue aussi de la représentation pour défendre les intérêts des coopératives, entre autres au niveau politique et pour promouvoir le modèle coopératif.
Au niveau national, on peut compter sur Coopératives et Mutuelles Canada (CMC), qui regroupe les coopératives du pays et qui effectue de la représentation. Il y a également des fédérations nationales, comme la Fédération canadienne des coopératives de travail (FCCT), qui effectue de la représentation et des activités de concertation. La FQCF est membre de CMC et de la FCCT. Enfin, il y a l’Alliance Coopérative Internationale (ACI), qui regroupe les coopératives du monde entier.
Cette configuration en toile d’araignée fait en sorte que le niveau de résilience du réseau des coopératives au Québec est incomparable. Elle permet aussi le développement d’une expertise enviable pour soutenir les coopératives dans leur développement, peu importe le contexte d’affaires. Qu’elle évolue dans un environnement favorable, incertain ou difficile, il faut garder en tête qu’une coopérative n’est jamais seule et qu’elle a accès à une foule de ressources professionnelles qui ont à cœur son succès!
Dernière édition
Juillet 2025
